Les locuteurs de cette langue ne l’appelaient pas couramment « serbo-croate », terme livresque et scientifique, mais, selon leur appartenance nationale, « serbe », respectivement « croate ».
Aux références cinématographiques, livresques et iconographiques s'ajoutaient les préoccupations de la fin des années soixante-dix : la guerre, l'écologie, l'incompréhension raciale et le choc des cultures.