Elle restitue avec sensibilité la vie familiale asphyxiante, faite d'obéissance et de soumission, qui finit par les étouffer en en faisant des femmes « pâles, maigrelettes, vêtues de noir ».
Maigrelet, minuscule, il est pourtant destiné à être beaucoup plus intelligent que toutes et tous, ce que montre sa survie initiale, détonnant avec son physique.